Casting voix off féminine pour une vidéo institutionnelle

Casting : pour une vidéo institutionnelle, nous recherchons une voix off féminine pouvant jouer une voix d’enfant. Le texte prévu est de 50 lignes. L’enregistrement se fera soit dans nos locaux soit en home studio. Nous proposons un cachet de 199,86€ pour cette prestation. Merci d’envoyer vos candidatures à l'adresse mail ci-dessous, pour ce casting voix off féminine. LA VOIX OFF : La voix off représente un procédé narratif utilisé dans le domaine audiovisuel consistant à faire intervenir une voix qui n'appartient pas à la scène. La voix off est une des facettes de la voix parlée enregistrée qui compte aussi la publicité, l'habillage de radios et le doublage. Les enregistrements sonores sont une des disciplines du métier de comédien. Ils sont confiés majoritairement à des comédiens professionnels (artistes-interprètes) dont certains ont une carrière au théâtre et/ou au cinéma. D'autres ont des carrières en radio ou ne se consacrent qu'à la voix.

Qu'est ce que les vidéos institutionnelles ?

Un film institutionnel se définit d'abord comme un film de communication interne ou externe d'une société, d'une association, d'une institution ou d'un groupe. Il a comme objectif principal de faire connaître ou de présenter l'ensemble des activités de l'institution. Ce film peut adopter la forme d'une publicité TV mais aussi celle d'un reportage. Ce sont des agences de communication spécialisés dans l'audiovisuel ou des sociétés de production qui produisent ce genre de films. L'entreprise communique sur son savoir-faire, ses valeurs, ses chiffres clés ainsi que ses produits. Il vise différents publics tels que le personnel de l'entreprise, ses actionnaires, ses fournisseurs ou même ses clients. Enfin, le film institutionnel (ou film d'entreprise) ne se destine généralement pas à la diffusion auprès du grand public. De plus en plus on utilise le terme "corporate" pour "corporate films" (la traduction en anglais). Toutefois ce terme ne s'applique qu'au secteur privé. [Lire sur leparisien.fr]